Faits d'utilisateurs
“Pour commencer, nous avons combinées la préparation de la pépinière et la transplantation du riz et une autre partie sur la gestion des mauvaises herbes. Ces parties ont été compressées en vidéos de trois minutes, peut-être pas aussi jolies que la version originale, mais ce n’est pas une tâche simple de les résumer. D’autre part, nous utilisons les vidéos comme matériaux de référence et nous avons également essayé de faire quelques fichiers JPEG pour des questions de fertilité de sol qui peuvent être enregistrés dans la banque de données pour être accessibles par l’ensemble du réseau des vulgarisateurs communautaires. Nous n’avons pas eu l’occasion de montrer toute la vidéo aux agriculteurs mais nous cherchons à fournir ces vidéos à certains des super membres parmi les vulgarisateurs communautaires dans la zone de cultivation de riz à Gulu afin qu’ils puissent les montrer aux agriculteurs.”
Annette Bogere, Fondation Grameen, Uganda
“Je suis heureux d’avoir vu ce film, car les producteurs de notre village vont commencer à s’occuper beaucoup plus de leurs semences de riz afin d’obtenir de bonnes récoltes. En tant que tel, cela nous a donné du courage, à nous les commerçants de riz, pour continuer d’acheter leur paddy pour le revendre, et cela nous donnera la joie.”
Affoussath, commerçant, Oroukayo, Bénin
“Certaines personnes ont demandé de regarder la vidéo une deuxième fois, tandis que d’autres voulaient avoir une copie de la vidéo eux-mêmes, pour la regarder à leur convenance.”
Germain Zossoungbo, NGO Un Monde, Bénin
“Les agriculteurs étaient contents de voir ce que les autres pays font par rapport à leurs propres méthodes et c’était aussi une révélation de voir les agriculteurs asiatiques - qui ont cultivé le riz pendant des siècles - utiliser des méthodes simples pour traiter leurs semences. Chaque sous-comté où la vidéo a été montrée avait un centre de ressources équipé d’une télévision et d’un magnétoscope.”
Robert Anyang, APEP, Ouganda
“Selon les animateurs, regarder les vidéos sur les semences les a stimulé à chercher des solutions locales pour des problèmes communs des agriculteurs. C’est en s’appuyant sur les connaissances locales que les solutions durables peuvent souvent être trouvées à un coût casi nul. Ils n’ont pas dit qu’ils vont copier tout ce qu’ils ont vu, mais ils vont appliquer ce qui est le plus essentiel.”
Louis Béavogui, IRAG, Guinée